Tuesday 21 June 2011

Projet Autonome


Introduction
L’identité est un aspect important auprès des individus, des communautés, et même auprès des cultures. L’identité regroupe les façons dont les individus ou les groupes se définissent par eux-mêmes, et sont définis par autrui. L’identité est donc tout à la fois une construction des agents sociaux, à l’intérieur d’eux-mêmes, et une catégorisation de la part de la communauté et des institutions sociales[1]. L’identité peut être décomposé en deux parties définies. La première est plutôt objective et elle consiste strictement d’une identité personnelle qui applique à un seul individu. Cette identité réunit des éléments pour définir une personne, ses valeurs, ses morales et sa conscience de soi. L’identité sociale est le deuxième constituant de l’identité. Ce type d’identité est une identité subjective, et elle englobe des groupes de personnes et des événements. Elle représente de la culture, des traditions et des coutumes créer pour une communauté particulière. Lorsqu’un individu possède une identité personnelle et une identité sociale, cette personne est conformée à la société et est capable de vivre en harmonie dans une communauté. Elle possède ainsi sa propre identité. Une communauté est une interaction d’organismes partageant un environnement commun[2]. Dans les deux œuvres de littérature canadienne françaises, Maria Chapdelaine par Louis Hémon et Aurore, l’enfant martyre par Léon Petitjean et Henri Rollin, le thème des différents types d’identités sont démontrés avec plusieurs sous thèmes qui peuvent développer le thème de l’identité. En premier lieu, les résumés des deux livres seront présentés. Ensuite la description du thème de l’identité dans les deux livres, avec des sous-thèmes et la comparaison  entre les deux livres. En dernier lieu, une analyse qui consiste des effets des tragédies sur l’identité, les réalités de la vie au Québec du 20ième siècle, une critique et des opinions personnelles seront faites.
Résumés        
Maria Chapdelaine est un roman historique écrit par Louis Hémon en 1913. Cette histoire est présentée au Québec durant le 20ième siècle et elle décrit l’histoire d’une jeune fille  de 18 ans nommé Maria Chapdelaine. L’histoire se développe au nord de Péribonka, une petite ville dans la province du Québec. Maria Chapdelaine est la fille de Samuel Chapdelaine, un pionnier, et de Laura Chapdelaine. Elle a aussi 5 petits frères et petites sœurs, et elle doit se soumettre à eux pour y prendre soin. Le dilemme que vie Maria dans le livre s’agit d’avec qui elle va se marier. Au Québec du 20ième siècle, les filles à 18 ans doivent êtres prêts à se marier, et elles doivent donc trouver un homme approprié pour l’épouser le plut tôt possible. Maria rencontre trois cavaliers possibles pour qui lui demander pour sa main en mariage, qui représente tous un aspect de la vie canadienne française au 20ième siècle. François Paradis est un coureur des bois, et un bûcheron libre. Il représente le mauvais choix pour Maria. François Paradis lui apportera dans la forêt pour former leur propre famille éventuellement. Maria est plutôt amoureuse de François, et c’est avec lui qu’elle veut se marier. Lorsqu’elle attend son arrivé lors des fêtes de noël, elle reçoit deux autres offres de mariage. La première offre est de Lorenzo Surprenant et la deuxième offre est de Eutrope Gagnon. Les deux hommes seraient convenables pour Maria avec les conventions de la culture au Québec. C’est aussi deux hommes qui seront approuvés par les parents de Maria. Lorenzo est  un  des 900,000 compatriotes qui ont quitté le Québec pour créer une vie plus agréable aux États-Unis. Il travaille dans une usine et il gagne beaucoup d’argent; assez pour supporter Maria et leurs futurs enfants. Lorenzo sera un choix agréable pour la vie de Maria, mais peut-être pas le bon choix pour son cœur. Eutrope est un habitant modeste, et il recherche un confort avec une bonne terre, pour avoir une vie stable et sécuritaire. Par contre, Maria a comme but de choisir François, le « mauvais » garçon. François part pour une expédition lors de l’hiver et promet à Maria de revenir au temps de fêtes. Lorsqu’il vient au temps qu’il revienne, il y a une grosse tempête de neige qui est très dangereuse. Il ne revient pas, et il meurt dans le froid. Maria est donc très bouleversée par la nouvelle de la mort de François. Quelques mois plus tard, la mère de Maria meurt d’une maladie mystérieuse qui ne peut pas être guéri. Après la mort de sa mère, le curé mets beaucoup de pression sur Maria pour se trouver un mari. Maria décide de choisir Lorenzo pour partir aux États-Unis et oublier sa vie tragique à Péribonka. Par contre, lors du funérailles de sa mère, Maria est très touchée par l’éloge que son père donne au sujet de sa mère. Pendant cette nuit, Maria obtient trois différentes voix qui apparaissent dans sa conscience. Une voix de la nature, une voix de ses ancêtres et une voix du Québec. Elle comprend donc l’important de son héritage et de pouvoir la transmettre à ses enfants. Par le patriotisme et pour honorer sa mère, Maria choisit d’épouser Eutrope à la place de Lorenzo.
Le livre Aurore, l’enfant martyre par Léon Petitjean et Henri Rollin est une livre qui s’appui sur une vraie histoire. Aurore Gagnon est née le 31 mai 1909. Le 23 janvier 1918, la mère d’Aurore meurt et le 1ier février 1918, le père d’Aurore, Télesphore, se remarie avec une femme nommé Marie-Anne Houde, qui a déjà 2 enfants d’un mariage précédent. À la suite de son arrivée dans la maison de Gagnons, plusieurs événements bizarres se passent. Le plus jeune des enfants, Joseph, âgé de 2 ans, est trouvé mort dans son lit. On trouve d’abord que sa mort était une mort naturelle. Pour 6 mois, Aurore vit un martyre avec sa demi mère. Le 12 février 1920, Aurore meurt dans des circonstances très suspectes. Lorsqu’une autopsie est faite sur le corps d’Aurore, on trouve 54 blessures sur son corps. Elle a une blessure très grave sur son crâne, sa chevelure est couverte de sang, sa cuisse gauche est tuméfiée et sur ses doigts, la peau est enlevée jusqu’aux os. Télesphore et Marie-Anne sont accusés d’homicide involontaire. Dans le livre, on voit les expériences tragiques que vit Aurore. Aurore se fait battre, brûlé et est forcée à boire de la lessive. Aurore dénonce à une des voisines dans la communauté, Catherine, et au curé ce que sa belle-mère et son père lui fait. Par contre, ils prennent trop de temps pour réagir et ne peuvent pas la sauver. Le 21 avril 1920, le juge condamne Marie-Anne Houde d’être pendue. Le 28 avril 1920, Télesphore Gagnon est reconnu coupable pour l’homicide involontaire et est condamné a la prison à perpétuité. Télesphore est libéré en 1925 à cause d’une tumeur et il meurt en 1961. Marie-Anne est libérée  en 1935 à cause d’une tumeur cancéreuse et elle meurt en 1936.
Le thème de l’identité
            L’histoire de Maria Chapdelaine est une histoire qui entour toute les aspects d’une identité sociale et d’une identité communautaire. Maria forme son identité dans l’histoire et c’est facile de reconnaître que Maria joue un rôle important pour sa famille et sa communauté. En même temps, elle veut se retrouver. Elle développe ainsi son identité sociale.  Il existe aussi un aspect d’identité nationale qui vient avec l’héritage et le patriotisme pour sa culture. Maria veut trouver le mari convenable pour son mode de vie. C’est pour cette raison qu’elle veut choisir François comme époux.  Elle veut avoir une identité sociale composé d’une vie privée dans les bois avec François, car c’est lui qui possède son cœur et son intérêt. Maria était fatiguée de sa vie à la maison. Elle existait seulement comme aide à son père dans les terres, et à sa mère pour ses petits frères et ses petites sœurs. Maria fait face à de nombreux choix qui pourraient changer son identité complètement. Si Maria avait choisi Lorenzo, et partit aux Etats-Unis, sa culture et son identité canadienne française sera éliminer et ne sera jamais retrouvé. Maria vit donc une crise d’identité, car elle fait face à tellement de choix qui peuvent changer sa vie pour le négatif ou pour le positif.  Dans sa communauté, Maria est vue comme une jeune femme qui doit se marier le plus tôt possible. Elle est donc soumise à la pression de sa communauté et de mener sa vie au mode convenable. Maria ne peut pas former son identité individuelle, car elle ne peut pas faire des choix par elle-même. Elle doit se conformer à sa communauté et les attentes de cette communauté.  Les relations amoureuses sont une grosse partie de l’identité. L’individu qu’un autre individu choisit comme amoureux, dit beaucoup sur l’identité de cette personne. On choisit une personne qui peut plaire a notre personnalité et accepté notre identité. Certains éléments d’une identité peuvent servir comme barrière à une relation amoureuse. Par exemple, dans le cas de Maria, son identité communautaire servirait comme  barrière à son mariage avec François. Enfin, Maria marie Eutrope seulement pour plaire à son identité et les attentes. Son père est content avec cette décision. Il ne pense pas à la peine de Maria. Maria a perdu sa mère et son époux futur dans 6 mois, mais son père veut uniquement qu’elle marie un homme qui pourrait servir comme un bon travailleur. Toutefois, le père de Maria veut que l’héritage canadienne française reste avec elle. C’est donc pas le bonheur de Maria qui est une priorité. Maria apprend qu’elle doit faire des choix non égoïstes. Son choix de marier Eutrope était pour plaire à sa mère, et honorer son identité.  C’est évident que Maria veut pouvoir retrouver son identité, mais ce n’est pas possible avec toutes les contraintes. « Ses parents auraient préféré qu’elle épousât Eutrope Gagnon- elle le savait – d’abord parce qu’elle resterait près d’eux et ensuite parce que la vie de la terre était la seule qu’ils connussent et qu’ils imaginaient naturellement supérieures à toutes les autres. Eutrope était un bon garçon, vaillant et tranquille, et il l’aimait; mais Lorenzo Surprenant l’aimait aussi; il est également sobre, travailleur; il était en somme Canadien, tout pareil aux gens parmi lesquels elle vivait; il allait à l’église… Et il lui apportait comme un présent magnifique un monde éblouissant, la magie des villes; il la délivrerait de l’accablement de la compagne glacée et des bois sombres… »[3]. On voit donc d’avantage que Maria se sente sous pression et ne peut pas choisir par elle-même, surtout lorsqu’on considère son choix d’épouser Eutrope à la fin du livre. Son identité est donc prise d’elle et elle ne peut pas former son identité à cause de sa communauté. Ceci démontre la difficulté de la vie canadienne française au 20ième siècle. Toutefois, beaucoup de gens ont travaillé fort pour pouvoir garder leur identité canadienne française, alors il est donc raisonnable que Maria est sous pression pour conserver sa culture et son héritage. Ce thème est donc très bien décrit dans le livre et dans les expériences que vit Maria dans l’histoire. 
            L’histoire d’Aurore, l’enfant martyre est une histoire qui englobe plusieurs aspects d’une identité. On peut facilement  voir que l’identité communautaire joue un gros rôle dans cette histoire vraie. On désigne actuellement les communautés comme tous les groupes qui vivent ensemble dans un lieu commun[4]. Alors, dans le cas d’Aurore, ses voisins et le curé forment sa communauté qui entre en jeu dans son histoire. Lorsque Aurore dénonce sa belle-mère et son père a sa voisine, Catherine, elle est bouleversée. Elle fait plusieurs indices à Marie-Anne lorsqu’elle la voit, et Aurore se fait battre car Marie-Anne croit qu’elle la dénoncer. Catherine parle donc au curé du village de la situation d’Aurore. Le curé fait donc une visite surprise  la maison des Gagnons. Il voit alors qu’Aurore a beaucoup de blessures visibles sur son corps. Toutefois, rien n’est faite pour Aurore jusqu'au jour de sa mort. Il y a donc un problème au sein de la communauté. Il est rare de trouver des situations comme celle-ci au Québec aujourd’hui. La communauté a donc développé et peut éviter des accidents comme celle d’Aurore. Mais, lorsque ceci est arriver, la communauté n’était pas assez avancée pour pouvoir éviter cet événement. Le curé n’a même pas arrêté les actions de Télesphore et de Marie-Anne. L’identité de Marie-Anne Houde a donc été détruite. À cause de son acte de violence envers Aurore Gagnon, sa vie est détruite pour le reste de ses jours. Ceci cause un gros impact domino sur la vie. Premièrement car elle a deux enfants. C’est-à-dire que ses deux enfants vont probablement avoir des crises d’identités car leur mère n’est pas présente dans leurs vies. Ceci déclenche de nombreux de problèmes, incluant l’angoisse et l’anxiété. Les enfants qui grandissent sans une figure maternel ou paternel peuvent souffrir pour le reste de leurs vies. Marie-Anne n’avait pas considéré toutes les conséquences possibles de ses actions violentes. À cause de son identité communautaire, elle pensa qu’elle pourrait sortir de son problème avec aucune culpabilité. Car la communauté de leur village croyait que Marie-Anne était une bonne mère et une bonne épouse, on ne la voyait pas comme coupable pour la mort d’Aurore ou de l’avoir abuser. L’image projeter d’un individu dans une communauté peut affecter plusieurs choses.  Le façon dont Marie-Anne se comportait en communauté a prouver que les gens ne pensait pas qu’elle était capable to poser un acte si criminelle auprès d’un enfant. Il faut donc faire attention, car les apparences peuvent êtres trompeuses. 
            Le livre de Maria Chapdelaine ne contient pas beaucoup de sous thèmes. Son thème principal est l’identité. On peut retrouver le thème des saisons québécoises dans le livre. Il existe beaucoup  de descriptions des saisons, surtout l’hiver et le printemps. L’hiver est une période longue et importante pour l’économie de la famille Chapdelaine. L’été est aussi très bien décrit. Cette période est bonne pour le recueil de fruits et de légumes. Un autre thème développé dans Maria Chapdelaine, est le thème du patriotisme. La morale de l’histoire est de rester fidèle à sa culture et à son héritage. Dans Aurore, l’enfant martyre, le thème principale est aussi l’identité en général, mais le livre est plutôt pour faire une point aux lecteurs. On voit vraiment expliquer l’histoire tragique d’Aurore pour que les communautés soient au courant que de telles choses puissent se passer dans une petite communauté tranquille et innocente. Les deux livres sont semblables dans un sens. Tous les deux ont un thème de la mort. Dans Maria Chapdelaine, François et la mère de Maria meurent, et dans Aurore, l’enfant martyre, Aurore meurt à un jeune age. Les deux livres veulent démontrer des points valables face à une communauté et les décisions prises.
Analyse
Une tragédie est un événement dans lequel une perte, généralement de la vie humaine, se produit et est considérée comme douloureuse. Une tragédie peut avoir une grosse influence sur un individu et son identité. Une personne peut se sentir perdue, anxieuse et triste lorsqu’une personne près d’eux meurt. Il existe une reprise lente, et ça peut prendre très longtemps pour qu’une personne guérisse. Dans le livre Maria Chapdelaine, Maria perd en premier lieu son futur époux, François Paradis.  Elle est très triste et elle se sent très désespérée dans sa situation. Elle est donc perdue et elle ne sait pas quoi faire. Ensuite, sa mère, Laura Chapdelaine meurt d’une maladie non curable. Ceci cause un autre dilemme auprès de Maria, et elle se sent plus désorientée qu’avant. Elle décide de marier Lorenzo Surprenant, pour sortir de sa misère. Elle pense que si elle déménage aux États-Unis, elle pourrait oublier ses problèmes et commencer une vie nouvelle dans un envenimement nouveau. Cependant, ce n’est pas une solution pour son problème. À la fin, elle va seulement se sentir plus perdue qu’avant et elle ne pourrait pas s’en sortir. Ensuite, elle change sa décision. Elle poursuit pour se marier avec Eutrope Gagnon à la place de Lorenzo. Elle choisit Eutrope pour plaire à son père et plaire aux attentes de sa communauté. La mort de sa mère et de François a complètement changé sa vie, et son identité. Si François n’était jamais mort, elle serait contente et elle aurait vie sa vie de la façon qu’elle le voulait. Si sa mère n’était jamais morte, elle aurait été vivre aux Etats-Unis et elle aura vit une expérience de vie complètement différente que celle dont elle va vivre ave Eutrope. La mort joue donc un rôle important dans la formation de l’identité sociale et personnelle d’un individu. Dans le livre Aurore, l’enfant martyre, la mort est un élément principale. La mort fait partie de la morale de l’histoire. La mort d’Aurore Gagnon a eu un gros impact sur la vie des Québécois durant ce temps. C’était un choc provincial, et même un choc au niveau national. Plusieurs gens ont été affectés par l’histoire d’Aurore et sa tragédie. Il y a eu de nombreux filmes et de nombreux livres écrits sur l’histoire d’Aurore.  C’était plutôt un choc culturel. La mort d’Aurore a eu aussi beaucoup d’impact sur des individus. Par exemple, les petits frères d’Aurore ont certainement étés affecté par sa mort.  Ils sont probablement devenus très anxieux et ont probablement très peur de la vie. C’est un gros choc émotionnel lorsque tu es très jeune et tu vis la mort d’une personne importante dans ta vie. Ceci va nuire à leurs identités plus tard dans la vie, et ils vont avoir de la misère à faire confiance au monde. Les tragédies sont donc très pertinentes et importantes dans le développement d’une identité car les tragédies peuvent poser de nombreux problèmes au sein d’une personne et son comportement. 
La vie au Québec du 20ième siècle
Lors du 20ième siècle, le Québec était très différent comparé à aujourd’hui. Au début de ce siècle, le Québec compte 1 million et 640 mille habitants. Dans le livre Maria Chapdelaine, on peut voir qu’au 20ième siècle, les femmes devaient êtres mariés à un jeune age. Les communautés faisaient pressions sur les jeunes femmes pour se marier et avoir beaucoup d’enfants. La raison est pour qu’ils puissent élever beaucoup d’enfants pour faire des travaux dans les champs.  Maria était sous pression par son père, sa mère et le curé de sa ville pour se marier. Ce n’était pas acceptable pour qu’une fille de 18 ans ne fût pas encore mariée. C’est une réalité qui était existante pour une très longue période de temps au Québec. Ceci a eu une influence sur l’identité de Maria car elle était précipitée. Une des voix dit à Maria : « C’est pourquoi il faut rester dans la province où nos pères sont restés, et vivre comme ils ont vécu, pour obéir au commandement inexprimé qui s’est formé dans leurs cœurs, qui a passé dans les nôtres et que nous devons transmettre a notre tour à de nombreux enfants : Au pays de Québec rien ne doit mourir et rien ne doit changer… »[5]. Dans le cas d’Aurore Gagnon, son histoire était un choc dans la vie des Québécois au 20ieme siècle. Plusieurs personnes ont réagi de façon négative car c’est tellement surprenant.  Aurore Gagnon demeure une icône de la culture populaire au Québec.
Critique et opinions personnelles
         D’après moi, le livre de Maria Chapdelaine est une œuvre qui démontre d’une façon claire et précise la vie dans une petite ville au Québec du 20ième siècle. L’histoire fait justice à la vie de plusieurs jeunes femmes qui vivaient dans ces temps difficiles. Maria a dû faire de nombreux choix pour plaire à sa communauté et ses parents, et le livre fait comprendre aux lecteurs comment difficiles la vie était durant ce temps. Toutefois, le livre était un peu difficile à comprendre. Il est important de relire plusieurs parties afin de pouvoir vraiment comprendre le message de l’auteur. Sinon, il est facile à manquer. L’histoire est aussi un peu complexe. Aussi, l’histoire prend beaucoup de temps à commencer. Les premiers 3 à 4 chapitres ne sont pas très utiles au développement de l’histoire, car c’est uniquement une description des saisons et du travail fait dans la maison des Chapdelaine. Par contre, l’histoire est bien formée et l’auteur a fait un excellent travail pour transmettre le message que le patriotisme et la conversation des cultures sont importants. Le livre Aurore, l’enfant martyre ne peut pas être critiqué car c’est une vraie histoire. Comme opinion, le livre rend justice à la vraie histoire et c’est très triste de voir ce qu’Aurore a dû subir lors de son enfance. C’est un livre très émotionnel et peut déclencher de nombreux sentiments lorsqu’on le lit. En tout, les deux livres sont des livres excellents qui font justice à la littérature canadienne française.
Conclusion
Enfin, les deux livres- Maria Chapdelaine et Aurore, l’enfant martyre, sont des livres pleins de compassion et plein du thème de l’identité et son importance. Les résumés, la description des thèmes et l’analyse des livres ont été faits pour faciliter la compréhension de ses morales. Sans l’identité, nous ne serait pas qui nous sommes aujourd’hui, et nos communautés ne seraient pas aussi stables qu’ils le sont aujourd’hui. On peut alors remercier notre identité pour notre création comme un individu particulier d’une communauté.





Bibliographie

Sites internet













[1] http://brises.org/notion.php/identite/notId/82/notBranch/82/
[2] http://fr.wikipedia.org/wiki/Communaut%C3%A9
[3] Maria Chapdelaine, page 154
[4] http://fr.wikipedia.org/wiki/Communaut%C3%A9
[5] Maria Chapdelaine, page 198

1 comment:

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